1/28/2018 0 Commentaires La crevaison en cylismeSouvent redoutée des cyclistes et des triathlètes, on espère surtout qu’elle n’arrive jamais en compétition. En fonction du type de roue monté sur votre vélo, la réparation peu parfois durer une éternité… Réparation d’une roue à pneuC’est la réparation la plus basique. Si vos pneus sont munis d’une chambre à air, il est tout à fait possible de changer cette dernière si elle est crevée. Il y a quelques années, on faisait des réparations de chambres à air à l’aide d’une rustine. Les prix des chambres ayant baissés, il est beaucoup plus simple et plus rapide de faire un changement intégral plutôt que de réparer le trou. Réparation d’une roue tubelessC’est une opération un peu plus délicate. Les roues tubeless sont montées sur les jantes et on injecte ensuite un gel liquide qui permet de garder l’ensemble étanche. Lors d’une crevaison, il peut arriver que ce gel s’échappe par le trou. La réparation la plus simple et d’utiliser une bombe d’urgence et d’injecter de la mousse pour refaire l’étanchéité du pneu de l’intérieur. Il faudra ensuite changer ce dernier ou effectuer la réparation. Réparation d’un boyauCertaines roues en carbones sont équipées de boyau. Ce sont des pneumatiques cylindriques qui sont collés directement sur la jante. La réparation d’un boyau lors d’une sortie n’est pas possible. Pour pouvoir continuer sa route, il faut effectuer un changement intégral du boyau. C’est-à-dire le dégonfler, puis le décoller pour venir coller un boyau de secours que vous aurez pliés sous votre selle. Peu pratique d’un point de vue réparation, le boyau offre tout de même la meilleure qualité en termes de confort et de performance de conduite. Pour résuméPar simplicité, le pneu reste le compagnon idéal pour les entrainements. Une crevaison peu très vite se réparer. Le boyau quant à lui sera plutôt utilisé sur les compétions par rapport à ses performances. Le tubeless peut-être une solution passe partout que l’on peut utiliser en compet’ mais également à l’entrainement !
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1/11/2018 0 Commentaires La natation en eau libreSouvent appréhendée par de nombreux triathlètes, la nage en eau libre est un entrainement à part entière. Bien différente de la nage en piscine, la natation dans un lac ou en mer requière quelques connaissances. Quel matériel utiliser ?Pour pratiquer la nage en eau libre, vous devez vous équiper d’un peu plus de matériel en comparaison à la natation en piscine. Il faut éviter tous les accessoires de type pull boy ou planche et privilégier un équipement pour être vue par les autres. De nombreux bateaux occupent le lac ou l’espace maritime (pour la mer). Voici une liste non exhaustive du matériel à avoir :
Quels sont les bénéfices par rapport à un piscineLa différence majeure se situe surtout dans la reproduction parfaite d’une compétition. Certain-e-s triathlètes se sentent très bien en piscine et rencontrent des problèmes le jour des compétitions.
Pratiquer la nage en eau libre et le meilleur moyen pour éviter d’appréhendé le jour de la compétition. Également, vous apprendrez à naviguer en vous orientant avec des points fixes sur le rivage. Encore une fois, de nombreux triathlètes nagent beaucoup plus que le parcours initial car ils ou elles ont énormément de mal à s’orienter le jour de la course. Que ce soit en mer ou en lac, l’expérience de l’eau libre doit être faite par la plupart des triathlètes au moins une à deux fois par saison pour être sûre de ne pas paniquer le jour de la compétition. Vous pouvez me laisser un commentaire et partager vos expériences si vous avez déjà nager en eau libre ! La course à pied est la discipline où le risque de blessure est le plus élevé pour les triathlètes. Voici des fondamentaux à respecter si vous ne souhaitez pas être blesser. 1. force et conditionnementDévelopper un niveau de force athlétique comme de puissance vous rend résistant aux blessures. Ajouter des exercices de musculation à votre entrainement une fois par semaine pour faciliter la bonne forme de fonctionnement et l'activation de base. Eviter d’utiliser les machines car elles font travailler des muscles isolés à travers une gamme spécifique de mouvements et ne fournissent aucun avantage fonctionnel. Privilégiez plutôt des mouvements fonctionnels. Ceux-ci incluent des squats, des fentes, des deadlifts de jambe simple, des Step-ups, et aussi un certain travail dynamique et postural de type gainage tel que la planche. 2. technique et fouléeIncorporer des éducatifs dans votre programme de course à pied aide à affiner votre foulée et réduit ainsi le risque de blessure. Travaillez votre foulée via un atterrissage efficace médio-pied. Certains éducatifs sont très bénéfiques tels que les montées de genoux, les déplacements latéraux ou les talons-fesses. Ils peuvent être utilisés sous forme de routine à l’échauffement après un léger footing. Ils peuvent également être exécutés en complément après une sortie longue pour ajouter une notion de fatigue à l’exercice. 3. techniques de récupérationUne récupération suffisante fait partie intégrante du maintien en forme sans blessures tout au long de la saison de compétition. Vous avez besoin de prendre en compte les jours de récupération et les semaines de récupération. Un bon programme d'étirement après un entrainement vous gardera souple et aidera à prévenir d’un raccourcissement musculaire. L'utilisation d'un rouleau de mousse est recommandée par pratiquement tous les physiothérapeutes pour la prévention des blessures. Massage sportif et auto-massage sont également idéales pour garder les muscles souples et encourager la circulation sanguine pour la réparation et la reconstruction. 4. nutritionUne bonne nutrition peut réellement aider à vous maintenir dans la forme optimale. La course à pied est le sport le plus exigeant physiquement et à fort impact. Il est donc important de faire le plein de carburant de manière efficace avant, pendant et après les courses ou les compétitions. Immédiatement après une session dure ou prolongée, vous devez refaire vos stocks de glycogènes et de protéines de qualité pour ravitailler les muscles et faciliter la réparation.
Cela permettra de s'assurer que lorsque vous démarrez votre prochaine session d'entraînement, vos muscles seront moins fatigués et plus en mesure de faire face à la charge d'entraînement, réduisant le risque d'inconfort et de dommages musculaires potentiels. |
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